La jeunesse est différentes ! [ Pv Lilliam]

Aprés avoir papotter avec celle qui était ma belle-fille, je me rendis à la riviére pour me relaxer. Aprés avoir une robe rouge, je me retrouva avec un maillot. Un maillot océan. Bon ce n'est pas parce que je changeais de couleur que je ne devais plus mettre du bleu. Enfin bref, seule ma coiffure de vestale resta. Et que deviens mon maquillage de pin-up ? Et bien, il a disparu.

Je plongea dans l'eau. Cette sensation me fit du bien. C'est comme si ... Comme si, j'avais vingt ans. Or mes 20 ans remonte il y a fort fort fort longtemps. Je ferma les yeux et j'écouta les bruits de la riviére. Je pensa à Poséidon. Pourquoi ? Et bien, tout simplement parce que nous sommes liés en quelques sortes. Nous aimons tout les deux l'eau. Aprés avoir fait trempette, je m'approcha d'un arbre & je ferma les yeux quelques instant.
Mais un bruit me reveilla et ma tenue se changea, à la place d'avoir un maillot océan j'avais maintenant une robe bleu( ici). Je regarda celui qui avait pertuber mon sommeil réparateur. Que dis-je un sommeil ? Les dieux ne dorment pas ... Disons que je reflechisait à des choses. Quelque chose peut vous supprendre, en effet mes cheveux étaient encore mouillé. Maintenant, j'avais plus une coiffure vestale. Mes cheveux étaient en cascade.

J'avais fait un pari stupide. Celui de regarder le soleil le plus longtemps possible sans cligner des yeux, avec un pote d'ici... et bien, je peux vous l'assurer, c'est vraiment très déconseillé. J'avais fixé le soleil sans cligner des yeux pendant presque une heure. Et cela faisait deux heures maintenant que je tentai de retrouver une vue à peu près normale.
Après avoir fermé les yeux, suite à mon marché, que j'avais gagné, je n'avais plus vu, comme si j'étais devenu aveugle. Cette bêtise m'aura tout de même fait gagné cinquante dollards! Mais je ne savais plus où j'étais et j'ignorai qui je percutai quand je marchai. Mon ami avait eu la même chose sauf que lui, il avait arrêté de regarder le soleil bien avant moi alors forcément, il avait retrouvé la vue plus vite que moi.

Je traversai, complètement aveugle, la forêt, me prenant des racines de temps à autre ou des arbres en pleine face. J'étais tellement idiot que je leur demandai pardon, comme si je pouvais parler aux arbres et surtout, comme si je leur avais fait mal alors que ça avait été plutôt le contraire.
Je sentai où j'étais car je connaissais bien la colonie. J'étais dans la forêt. Et au bruit de l'eau, je devais surement être pas loin de la rivière. Tant mieux, il n'y avait généralement personne mis à part quand il y avait capture l'étendard.

Cela dit, comme j'étais un parfait imbécile sans mes yeux, que j'avais caché avec une main tellement j'avais mal, je ne m'aperçu pas quand je percutai quelqu'un. Au début, je pensais que c'était un arbre mais quand j'attérit lamentablement dans l'eau, je me rendis compte que ça ne pouvait pas être un arbre.

"Ex... excusez moi"

balbutiais-je en sortant la tête de l'eau et en inspirant bruyament, histoire d'avoir à nouveau de l'air, les yeux fermés.

Je regarda le jeune demi-dieux. Je devina qu'il était l'un des gosses des Trois Grands. Ces derniers sont : Zeus roi des Dieux, Poséidon Dieu de l'Océan et enfin Hadés Dieu des Morts.
Cette graine de dieux doit-être soit le fils de mon ancien amant soit le fils de Zeus. Je ne pencherai pas pour Hadés car il ne ressemblait pas à Bryan ni à ma petite Alice. Oui, je sais elle n'est pas petite mais pour moi c'est comme ma petite protégée préfére. Enfin bref, oublions ces petits détailes. Ils ne vont pas nous aider à résoudre une égnime.

-Ce n'est pas grave ...

Je lui sourit. Il cligna les yeux pour une raison obscure. Puis je pense que sa devait être un pari entre jeunes. Ah ces gosses ! Toujours pleines de ressources & de vie.

-As-tu gagnée un pari ?

Je le regarda, je me leva. Aussitôt, une paquet de fleurs fit son apparition. Je posa mon regard sur le jeune homme. Ne croyez pas que je m'interesse à lui. Mon coeur bat pour un seul & unique homme. Celui-ci est Bryan ... Fils d'Hadés.

Après mes excuses, j'entendis une voix féminine que je n'avais encore jamais entendue me dire que ce n'était pas grave. J'ouvris la bouche pour dire quelque chose, le bras toujours devant mes yeux pour les protéger et essayait de pouvoir faire face à celle qui venait de me parler. Même si j'étais de dos en réalité, mais chut je ne le savais pas, je me lécha les lèvres histoire de pouvoir me convaincre que je pouvais parler.

"Ah ouf, tant mieux alors!"

Puis je me rendis compte que la présence se trouvait derrière moi car je sentais ses mouvements derrière. Me sentant comme un parafait imbécile, je me retournai doucement tandis que la femme ou la fille, je ne sais pas vraiment, me demanda si j'avais gagné un pari. Je haussai les sourcils derrière mon bras. Comment avait-elle pu le savoir? Même les dieux n'étaient pas télépathe. Enfin, je dis ça, je dis rien en fin de compte puisque que je l'ignorai un peu. Puis, je lui répondis alors, un peu agacé :

"Non, j'ai voulu faire le malin! Qui êtes vous? Ou qui es tu?"

Les yeux fermés, je décidai de retirer mon bras. Je sentais déjà la lumière du soleil sur mon visage et cela me donna envie de le re-cacher. Mais je voulais absolument voir car être privé de la vue m'était complètement insupportable. C'était le sens dont nous, les humains, avions le plus besoin. Les aveugles, c'est autre chose... Sauf que moi j'étais habituellement pas aveugle et je ne souhaitais absolument pas le devenir.
J'ouvris trèèèèèèès lentement les yeux, les clignant sans cesse. Ma vision était complètement floue évidement et le soleil me faisait mal aux yeux. Enfin, je me faisais force pour ne pas les refermer et pour revoir à nouveau.
Je dévoilai à présent mes yeux bleus, couleur ciel mais je voyais toujours aussi mal. En revanche, si je plissai fort les yeux, je pouvais distinguer la silhouette d'une femme et la blondeur de ses cheveux. Qui c'était?

Mon regard océan se pose sur le jeune gagnant à ce pari. Je lui fit un sourire. A quoi sert de sourire à un homme "aveugle" ? Rien ... J'étais d'humeur joyeuse. Autant me voir comme cela. A moins que vous voulez que je sois de mauvaise humeur ?

-Je suis Aphrodite ! Et toi qui es-tu ?

Le vent fouetta sur mon visage. Bien entendue, je n'avais pas de cicatrice. Mon visage resta comme il était. Je m'approcha de lui.

-Je vois que t'es le fils de Zeus !

Aphrodite? La déesse de l'amour? Celle que, quand tout les garçon ils la voient, ils deviennent gaga? Dans un sens, ça n'était pas étonnant, elle était la déesse de la beauté, en même temps que celle de l'amour. Je me demande comment je me comporterais avec elle lorsque je pourrais enfin la voir correctement. Néanmoins, les personnes du bungalow d'Aphrodite me lassait avec leur perfection à la con. Ils voulaient être beaux, beaux et re-beaux et c'était leur seule préoccupation. C'était des gens très superficiels enfin de compte. Je me demandais si Aphrodite était comme ça

"Oh je vois. Vous êtes donc une déesse alors."

Non, sans blague?
Puis Aphrodite remarqua que j'étais le fils de Zeus. J'ignore trop comment mais bon, elle l'avait remarqué. Bien que je ne voyais pas encore très clair, je clignais des yeux, puis, pour m'amuser, lui demanda :

"Et si mon père c'était... Poséidon, mhh? Pourquoi Zeus?"

Je dis ça mais si ça s'trouve, j'aurais eu la vision claire, j'aurais remarqué qu'elle était Aphrodite. Chaque dieux avait leur... petits signes de reconnaissance et dégageait un certain aura. D'ailleurs, au passage, je ressentait celle d'Aphrodite. Et quand elle m'avait avoué qu'elle était Aphrodite, je l'avais encore plus ressenti.

"Vous faites quoi ici, Aphrodite?"

lui demandais-je poliment.

Je plongea mon regard irresitible dans le sien. Je sourit à ce jeune homme.

-Oui en effet !

Je rit. Un rire cristalin s'échappa de ma bouche. Il était d'une beaute sans pareille.
Je regarda le sol.

-Tu es un fils de Zeus car comme lui, tu as l'étoffe d'un leadeur.

Je me demanda s'il me voyait. Enfin peut importe, je pouvais le voir.

-Et si tu étais le fils de Poséidon, tu aura une odeur particuliére pour les montres & les satyres.

Je lui fit un grand sourire.

-Donc t'es le fils de Zeus.

Je regarda l'environement, je pensa aux gens que j'avais cotoyé ces deux semaines. Ils étaient bons mais certains mauvais. Tout dépendait du demi-dieux qu'on avait en face.

-La colonie te plait-elle ? Mes enfants se comportent correctement avec toi ? Parle sans crainte, je ne mange pas les enfants.

Mon visage devient enfantin. Je continua de regarde le fils de Zeus.

"Ah vraiment? Comment vous pouvez savoir cela?"

Je posais ces question par simple curiosité. On sait jamais...
Puis elle me répondit que si j'avais été le fils du dieu de la mer, j'aurais une odeur particulière, ce qui n'était pas faux, mais lorsqu'elle m'expliqua "pour les monstres et les satyres" je fronçai les sourcils d'incompréhension. Était-elle au courant que tous les demi dieux étaient ainsi, en particulier, ceux des Trois Grands?

"Heu.. mais vous savez, les fils d'Hadès et de Zeus aussi. On a juste une odeur différente, enfin j'imagine, mais cela nous empêche pas d'attirer les monstres et les satyres. D'ailleurs, pour la petite anecdote, tous les sang mêles sont comme ça. Juste que nous, c'est plus fort."

Je me gifla immédiatement suite à ces paroles. J'avais été insolent et je m'en étais rendu compte que maintenant.

"Pardonnez mon insolence."

Cela dit, elle ne répondit pas à la question que je lui avais posée, lorsque je lui avais demandé ce qu'elle faisait ici. Elle m'avait plutôt répondu par une question, me demandant si la colonie me plaisait, si ses enfants étaient correct avec moi, en précisant que je pouvais parler sans crainte car elle ne mangeait pas les enfants. J'échappai un petit rire, puis :

"Sans vous offensez, douce déesse, je ne parle jamais avec vos enfants pour la simple et bonne raison qu'ils... sont pas dem on genre"

J'avais faillit lui dire qu'ils m'agaçaient mais dire ça des enfants d'une déesse à la déesse même, c'était à nouveau insolent et je ne me voulais pas insolent. Juste que parfois, c'était plus fort que moi et je détestais mentir. J'étais parfois trop franc et ça m'attirai bien des malheurs... Puis :

"Et sinon, au final, que faites vous ici?"

lui demandais-je à nouveau poliment.

Je le regarda.

- Je sais cela, mon jeune ami. Enfin me permet-tu de t'appeller comme cela ?

Il se gifla. J'aimais pas qu'on se donne des gifles.

-Oh ce n'est pas grave. Tu n'as pas atteint l'insolance. Si tu le faisais, tu l'aurais compris dans mon regard.

Je l'écouta sans rien dire.

-Je vois & qu'ils sont parfois un peu superficiels ? Ne les en veut pas ... C'est dans leur natures.

Je lui sourit.

-Oh ! Je suis ici pour un congé parental. Comme quoi être immortel peut-être ennuyant !

Aphrodite m'appela "mon jeune ami" et lorsqu'elle me demanda si je lui permettrai de m'appeler ainsi, je ne su quoi les répondre. J'avais du mal à faire entrer les gens dans ma vie, je restai toujours, en général, sur une relation sociale superficielle. Mais il fallait me l'avouer, Aphrodite était une déesse et il serait vraiment très impoli de refuser. Je soupirai

"Si vous voulez"

Puis elle me fit remarquer que si j'avais été insolent envers elle, je l'aurais vu dans son regard, remarque qui eut le don incroyable de me faire exploser de rire. J'eus du mal à reprendre le contrôle de moi même mais lorsque ce fut le cas, je m'arrêta net de rire, comme si la remarque que j'allais sortir n'était pas drôle. Et en effet, elle ne l'était pas. Enfin, je crois.

"Eh bien, étant donné que j'ai les yeux qui ne fonctionne pas très bien à cause d'un stupide marché, je ne peux donc pas "voir" si vous l'avez bien ou mal pris."

Puis en revenant aux enfants d'Aphrodite, elle me demanda s'ils étaient superficiels... jusqu'à ce qu'elle me disent de ne pas leur en vouloir, que c'était dans "leur nature". Leur nature... un héritage génétique peut être? Aphrodite était-elle superficielle? Cela ne m'étonnerait pas mais je n'eus pas le culot de le lui demander

"Je vois. Je ne leur en veux pas."

Puis à ma question sur ce qu'elle faisait là, elle me répondit qu'elle était en congé parental, réponse qui me fit poser des questions. En congé parental? Qu'entendait-elle par là?

"Euh.. vous êtes enceinte?"

Je ris. Le plus beaux rire que quelqu'un ait pu entendre. Un rire divin comme un rire angélique. Je ne quitta pas des yeux, le jeune fils de Zeus. Et ne croyez pas que celui-ci m'interesse. Je pense que vous devez savoir qui fait battre mon coeur à la chamade. Ou comme une jeune mortelle. Enfin bref, c'est toujours la même personne qui hante mes pensées nuits & jours. Deux minutes s'écroula aprés.

-Peut-être j'emplorais une autre maniére pour montrer que mon mécontement.

Je le regarda puis je leva les yeux vers le ciel. Puis quand il me dis " vous étes enceinte ? ". Je fis une tête bizzare. Et la je devinais que j'étais réellement enceinte .... Et le pére n'était autre que Bryan. Mais je n'étais sur de rien que j'étais réellement mise en cloque.

-Peut-être oui, peut-être non. Pourquoi tu veux que le sois & que je vienne ici ? { je le quelques seconde réflechit). Si je suis venu ici, c'est pour voir mes enfants qui sont à la colonie.

Je le regarda dans les yeux. Sans les quitter. Une expression de défis se mut à luire dans mes prunelles océans.

Je restai silencieux. Fâcher un dieu n’était pas mon intention, j’avais d’autres choses à faire, même si là, Aphrodite ne semblait pas fâchée.
Ma vue commençait à redevenir normale et je pouvais distinguer le physique d’une merveilleuse femme, plus merveilleuse que je n’avais jamais vu de ma vie. Elle était parfaite, tellement que j’en oubliai qu’elle était la déesse de la beauté. Eh bien… Aphrodite n’était pas belle pour rien ! Je restai un moment à la contempler avant de retrouver mes esprits. Ceci dit, je ne pourrais jamais toucher à une déesse. Elles ont un statut bien trop important pour que je puisse tenter de les séduire. Eh puis… enfin

« Vous êtes bien jolie… »

A ma question, à savoir si elle était enceinte, elle me répondit un peu confusément, que peut être oui, peut être non. Surpris de la réponse, je haussai les sourcils. J’avais dit ça parce qu’elle m’avait dit qu’elle était en congé maternité, mais j’aurais pas cru qu’elle le prendrait au sérieux.

« Ohh… d’accord. Ceci ne me regarde pas après tout. »

L’expression de son regard était assez curieux. J’avais le sentiment qu’elle allait me demander quelque chose ou un truc dans le genre.
Si elle allait voir ses enfants ? Je connaissais Kelsey, mais par procuration. Comment ? Ah.. c’est une histoire bien compliquée… Il y avait d'autres enfants d'elle que je supportai mal... surtout des filles car elles me préparaient de sales coup pour "se venger". Je détestai les gens qui venaient se mêler d'affaire qui ne les regardaient pas. C'est plus fort que moi... et si jamais l'une d'elle commence à aller loin... il serait possible que j'emploie les "grands moyens".