Si c'étais hérmes, il aurait ma sandale dans la figure [ Pv Apollon]

J'aimais ces petites vacances. Ne croyez pas que si j'étais venue sur Terre, j'allais pas faire mon boulot de déesse. En effet quand je voyais des couples qui ne s'aimaient plus, je décida qu'ils s'aiment encore. Quand je voyais deux jeunes gens qui s'aiment mais qui avaient du mal à avouer leur sentiments, je les aidais un peu. J'étais bien généreuse ces temps-ci.

Je prenais un bain dans l'océan, j'avais prit un maillot bleu à deux pieces (ici), j'avais laissé mes sandales dorées sur le sable mais aussi mon paréo qui était également bleu ( Et ici.). Aprés mon petit bain, j'allais me dorer au soleil. Je noua le paréo & j'invoqua trois choses. Un parasol pour pas que je cramme à cause de cette boule de feu. Mais aussi des lunettes de soleil & une serviette. Je m'allonga sur la serviette...

Bon ok, chercher Aphrodite. Il en avait de bonne le papa... Vraiment ! Et je fais quoi moi? Je suis déja assez maladroit en amour et plutôt malheureux, si elle me pique une crise elle pourrait me maudir pour les cent années à venir au moins ! C'est pas juste, c'est Hermès le messager, pas moi. Et nia nia nia Hermès en mission et nia nia nia ! En attendant qui doit faire tourner le soleil tout en s'occupant de cet artiste à faire connaître en Yougoslavie ou encore de ce chanteur qui n'a pas d'inspiration, sans oublier cette prophétie, et la beauté des hommes à remettre en cause ! Ah si ! J'allais oublier les medecins ! Déja que j'en fous pa une habituellement alors là ! Je soupire doucement pour me calmer.

Clio s'occupe du soleil, tout va bien. Caliopé eu la gentillesse de voir un peu tout ce qui concerne les arts. J'ai pas arrêter de flâner ces derniers temps, il faut que je rattrape mon retard. Que ferais-je sans mes précieuses muses? Heureusement qu'elles sont là ! Pas comme l'autre là... Celui là, toujours à me pourir la vie. Déja qu'il m'a engendré et qu'il n'a pas sut être un bon père, maintenant il veut me donner des leçons sur ma fainéantise ? Mais qu'il se regarde d'abord ! Lui ses soucis c'est : Tiens, et si j'embêtais mon mondece soir en faisant pêter un gros orage alors qu'on est en plein été ? Pfff lamentable. Lui... Et moi. Oui moi aussi je suis lamentable. J'en rate pas une. Et d'une certaine manière il a raison, je suis un triple fainéant. Et j'arrête pas de me plaindre, quel gamin je vous jure. Mais c'est aussi comme ça qu'on m'aime, moi, Apollon le magnifique, le plus beau des dieux !

J'arrive à la colonie des sang-mêlés. J'espèrais qu'aucun de mes fils ne me verraient je n'avais aucune envie de me prendre encore des reproches sur mon non paternalisme. Oui je suis un mauvais père. Mais je ne le fais pas exprès. J'aime tous mes enfants, tous autant qu'ils sont, même si parfois certains me haïssent. Soupir... J'aimerais être plus avec eux. Il faudrait que je fasse comme Aphrodite, un petit congé. Un éclair zébra le ciel. Encore en colère celui là ! Ok pas de congé pour le moment j'ai compris. Mais il faudrait que je vois Duncan. Au moins une fois. Dernièrement j'ai vu Liam. Et c'est tout... C'est tout. Après une conversation plutôt rapide avec Dyonisos, j'appris que l'objet de mes recherches se trouvait en train de se la couler douce sur la plage. Je quittais la maison de l'ivrogne non sans avoir accepté deux verres de rouges.

Direction la plage donc. Avec un sourire j'y allais, évitant toujours de me faire remarquer. Mais c'est dur quand on est un dieu et surtout quand on est aussi bien foutu que moi. Les dryades m'observaient avec un mélange de respect, de joie et de crainte. La dernière fois qu'elles m'avaient vu, une fille d'Hécate m'avait rappelé Cassandre, chose que peu de dieux osent faire, et j'avais déraciné un arbre, dans lequel heureusement ne se trouvait aucunes dryades. Je leur adressais un signe de mains rassurant ainsi qu'un sourire ravageur sur ma tête de séducteur incontesté. Elles me sourirent en retour et l'atmosphère se détendit nettement. J'allais bientôt arriver à la plage. Je commençais à prendre mon courage à deux mains pour lui annoncer qu'il faudrait peut être qu'elle songe à rentrer, mais dés que je la vis en maillot de bain en train de bronzer sous le soleil que ma merveilleuse Clio faisait tourné, je me suis dit que l'électrocuté pouvait aller se faire voir. Ou du moins qu'il attendrait un peu.

Je n'étais pas du genre rebelle. Enfin si, un peu, juste qu'il faut. Mais j'aimais tout de même énormément contratrier mon père. C'est de sa faute si j'ai autant d'attribution. Plein de dieux seraient heureux à ta place... Et bla bla bla. Bon ok, le dieux des toilettes dois pas être super content m'enfin... Je descendis doucement jusqu'à la plage, claquant es doigt pour qu'un short de bain noir remplace ma chemise blanche et mon jeans. Je voulais piquer une tête, comme un gamin, mais avant il fallait qu'une certaine Aphrodite soit également mouillée, sinon ce ne serait pas drôle n'est ce pas? Je couru le plus rapidement qu'il m'était possible de faire, c'est à dire bien plus rapidement qu'un demi-dieux et j'attrapais la miss qui bronzait tranquillement. Courant vers l'eau je l'y précipitais avec joie, avant de la lâchée. L'eau m'arrivait au nombril. Elle était assez fraîche, mais pas trop froide. De toutes façons pour un dieu peut importe !

-" Pas trop mouillée j'espère?"

Et j'éclatais de rire. Un son clair et juste, magnifique. Et oui, en tant que dieux des arts et de la beauté, mon rire ne pouvait être dissonant et moche. Non, il était tout ce qu'il y a de plus attrayant, sexy, et renversant. J'attendais la réaction de la beauté en maillot de bain. J'allais sans doute prendre cher... A voir !

Je vit Apollon & j'éclata de rire. Un rire cristalin & mélodieux s'était échappe de mes lévres.

-Avec toi, c'est sur que je vais pas rester eternelement mouillé. Et je m'occupe aussi des affaires de coeurs !

Je le regada dans les yeux. Je préfére milles en fois Pollon qu'Hermes. Pourquoi ? Pollon et moi étaient pareilles. On était beaux & séduisant enfin bref tout le contraite du crétin volant.

-Et je rentrerais dans une semaine !

Je me leva juste pour être à sa hauteur, aussitôt ma tenue se changeait pour être plus glamour & sexy (ici)

- Hum sinon t'es venu aussi pour me tirer les oreilles ?

Je lui fit un sourire. Un sourire charmeur.

- Ou tu restes quelques instant avec moi ? Enfin si tu peux rester.

Je regarda le ciel au cas ou ... On sait jamais avec Zeus s'il lui arrive de peter un boulon. Il vallait mieux rester sage.Le vent souffla sur mon visage, mes méches touchait celui-ci. Je regarda Apollon. Puis je regardais mes sandales dorées. Si c'étais Hermes, je lui mit mes sandales en plein tête.

- Je préfére que ce soit toi qui soit venu plutôt qu'Hermes.

J'avais releve mon visage et aprés cette phrase je regarda les sandales.

Nous sortîmes de l'eau. Elle revêtue une tenue plus... Enfin bref. Tandis que je restais torse nu, obtant pour un pantalon de toile blanc en bas.(Ici). Elle était belle ainsi, j'étais beau aussi. Elle me dit qu'elle rentrerais dans une semaine et se demandais si j'étais venue lui tirer les oreilles.

-" Je ne fais que passer le message. Tu sais très bien comment est papa... Toujours sur les nerfs. Il voulait pas se bouger les fesses et Hermès était pris..."

Elle me demanda si je voulais rester un peu avec elle. OUi pourquoi pas rester. S'amuser un peu pendant que le vieux papy là haut nous attendais. Mais tu peux toujours attendre... Vieux... Oui il était vieux. Bien que je dois avouer que ça ne se voit pas trop. Il a opté pour une envellope charnel d'environ 35 ans, pour se faire beau, mais mature. MOi on me donne la vingtaine ainsi qu'Aphrodite. Hermès préfère avoir plutôt 25 ans, et Artémis 15. Arès lui se montre sous la trentaine... Enfin chacun ses goût. De toutes façons, quoique je décide, j'étais magnifique...

- Je préfére que ce soit toi qui soit venu plutôt qu'Hermes

Je fronçais les sourcils. Il était de notoriété public qu'Hermès et Aphrodite ne s'entendait pas. Mais Hermès était un frère pour moi, et quoiqu'elle en dise, je l'aimais énormément. Je ne permettrais pas qu'elle dise du mal de lui. Me détendant un peu, je souris.

-" Hermès n'est pas si méchant..."

Je le regarda dans les yeux.

- Je comprend.

Je lui fit un sourire au coin & je regarda le sable.

- Ouais peut-être !

Je haussa mes épaules, j'avais encore quelques gouttes sur celles-ci. Puis je secha mes cheveux. Mon parfum envoutan se propagea à une allure allucinante. Je reposa mon regard sur Apollon.

- Comment va Arthémis ?

C'est pas parce que Mlle Arthémis voulais rester vierge et refuser d'aime un homme que je devais la hair. Enfin bref. Thémis était en même temps ma soeur de coeur & ma conscience amoureuse. C'est étrange me direz vous que une déesse qui souhaite rester vierge conseille la déesse l'amour ? Et puis qu'est-ce que sa fait que ce soit elle ma conscience amoureuse ? Rien.

Je la regardais en souriant. Sujet Hermès oublié, zappé, passé aux oubliettes. Tant mieux, je n'avais aucunes envies de me disputer avec elle. Et elle me demanda comment allais Artémis. Dans un coin de ma tête je sentis un soupçon de joie mêlé à de l'aventure, de l'adrénaline. Toujours en train de chasser celle là. Oui nous sommes jumeaux, connectés qui plus est. Le jour et la nuit, l'amour et la virginité, mais aussi deux tireurs à l'arc, deux jumeaux. Nous sommes à la fois complémentaire et totalement ressemblant. Un lien fort nous unis.

-" Elle va parfaitement bien. Elle est en train de chasser, encore et toujours."

Je la regardais avec un peu plus de sérieux. En ce moment Arès pétait souvent un câble. Et ça c'est pas bon qu'Arès pète les plombs. Résultat : deux guerres, une toute petite rébellion en Irlande et un véritable désastre en Biélorussie. Il fallait qu'il se calme franchement.

-" Arès n'a pas l'air bien par contre. Tu l'as plaqué je suppose. Encore..."

Oui Arès et Aphrodite c'est une longue histoire. Je te déteste mais je t'aime. Le pauvre. Surtout qu'elle est mariée avec Héphaïstos. Lui aussi le pauvre. Alalala, heureusement que je ne suis pas marié. Et pourtant c'est pas faute de Zeus de ne pas avoir essayer.

Je lui sourit. Ils étaient inséprable comme les deux doigts de la main. Je le regarda dans les yeux.

- J'immagine que tu voudrais être avec elle ?

Et la quand il me dis qu'Arés allait pas bien, je fis un tête bizzare. Trés.

-C'est lui qu'il m'a plaqué ! Il me trompais !

Je regarda le sol.

- C'est pas vrais ! { puis je regarda Pollon} Et tu me conseille quoi ?

Il y a des choix que je ne pourrais pas accepter. Lequels ? Quitter Bryan, Détester ma fille. Et les autres ? Je ne sais pas.

- Au faite, j'ai appris pour nos enfants.

Je le regarda calmement.

- Je suis heureuse pour Kelsey et ton fils.

J'hochais pensivement la tête. Être avec Artémis? Et pour quoi? Pour me faire sans cesse remonter les bretelles sur mon comportement d'enfant immature, et de coureur de jupons? Ou alors pour encore me disputer sur les surnoms affectueux que je lui donne. Non... Pas vraiment mon genre. Pas suicidaire pour deux sous dirait-on. Mais au fond de moi même, et chuuuut faut pas le dire, je désirais plus que tout être avec ma sœur. Mais les chasseresses ne me voient pas d'un très bon œil, moi l'homme à femme, et également moi qui teste mon arts sur elles...

-" Moui..."

Et c'était repartis pour Arès. Je soupirais lentement. Je n'avais pas vraiment fait attention aux deux amoureux ces derniers temps. Et c'était pas faute d'être aveugle. Je ne sais pas. Aucune envie je pense.

-" Euh écoute moi je dis ça, je dis rien, mais essaye de le calmer. Après ce qu'il s'est passé je m'en moque. Mais j'ai pas envie d'avoir papa qui râle parce qu'Arès fout des guerres partout. Et tu sais très bien à qui papa s'en prend quand il est pas content !"

On va pas parler de souffre douleur. Mais on y est presque je vous assure; C'est de la torture moral. Et physique quelques fois. Si ! Je vous jure ! Il laisse échapper sa foudre de temps en temps, et même pour un dieu c'est pas franchement agréable. C'est même loin de ce que je conseil.

-" Ah Duncan... Oui ils vont bien ensemble. J'ai rencontré Kelsey et je dois dire qu'elle est plutôt sympa comme mortelle."

Je souris légèrement en pensant à la jeune fille.

Je comprenais parfectement Mister Apollon. Quand Zeus était ennervé, il passait des savons terrible sur Apollon. Je le planais. Il était de mon devoir de revenir ... Mais, je devais finir encore ceux qu'avais commencé. Je le regarda dans les yeux.

- Je te promet que que je calmerais.

Je lui sourit quand il parla de nos deux toutereaux. C'est vrais qu'il allait bien. Trés bien même. Je me demanda de quoi, ils avaient parlé ces deux là.

-Votre entrevue s'est bien passée ? De quoi avez vous parlé ?

Je le regarda, le vent souffla sur mes cheveux. Je lui sourit.

Elle me dit qu'elle le calmera. Tant mieux, moi je ne veux pas me retrouver à faire le travail d'un autre dieu. Parce que papa me colle toujours du boulot et que moi je fais mon possible pour ne pas le faire. Oui nous sommes comme chien et chat. C'est assez drôle vu d'extérieur mais je peux vous assurer que ça ne l'est pas du tout. Enfin bref. Les légendaires prises de becs entre mon père et moi n'était pas vraiment à l'ordre du jour. Je regardais la sublime déesse avec un sourire charmeur. N'allez pas croire que je la draguais, mais en tant que dieux de l'amour masculin si on, enfin bref, beau gosse, je ne peux m'empêcher de faire autrement. Dur la vie hein?

-" Parfaitement bien passé. Si ta fille était méfiante elle a arrêté de se prendre la tête. Nous avons parlé de Duncan, et d'elle. C'est moi qui l'ai aidé à rentrer alors que la prophétie disait qu'elle ne rentrerait pas..."

Je continuais de sourire, angélique.

J'étais heureuse que ma petite fille soit bien rentrée. Immaginez-vous que celle-ci ne soit pas revenue à la colonie. Qu'aurais-je fait ? Je serais malheuresue .... J'aurais sans doute envie de l'avoir revue plusieurs fois avant qu'elle ne meurt. Mais heureusement que ce scénario ne s'était pas produit. J'offris un de mes plus beaux sourire à Apollon. Ce n'était pas le sourire aguicheur mais le sourire amicale et heureux.

- Merci de l'avoir ramené à la Colonie ...

Je passa ma main dans ma chevelure blonde, je le regarda d'un regard qui était heureux. Oui, j'étais heureuse mais parfois c'était éphémére. Comme certains des mes relations amoureuses. Parfois pour entrer dans mon monde, il faut m'aimer et me désirer ...

-Sinon aimes-tu quelqu'un ?